Le blog de Julien Bainvel

En septembre dernier, Julien Bainvel, Conseiller Municipal de Nantes, élu du quartier Breil-Barberie, participait à l’inauguration de la première école ABA de Nantes, les Petits Malins.

Depuis la rentrée de septembre, cette école accueille 5 enfants autistes, en appliquant la méthode d’analyses du comportement (ABA) méthode américaine destinée à l’éducation des enfants autistes.

Née dans les années 1970 aux États-Unis, elle est très peu appliquée en France. Le comédien Francis Perrin en est le défenseur et un fervent supporteur.

C’est donc dans l’École des Plantes, située au cœur du quartier, Breil-Barberie que cette école prend place. Elle pourra à terme accueillir 10 enfants. Mais pour cela, il est indispensable de trouver des financements pérennes.

Jusqu’à ce jour, elle ne fonctionnait qu’avec des financements privés, des mécènes, des grandes entreprises qui ont fait des dons (mais qui n’offraient qu’une année de fonctionnement).

Suite à l’intervention de Julien Bainvel auprès de Roselyne Bachelot, Ministre des Solidarités et de la Cohésion Sociale, une subvention de 710 000 € a été annoncée pour la pérennisation des 5 places existantes. Cinq places supplémentaires seront ouvertes d’ici à 2014. Roselyne BACHELOT a annoncé cette bonne nouvelle ce matin lors de sa visite de l’école dans le cadre d’un déplacement à Nantes.

Julien Bainvel se réjouit d’avoir été entendu par l’État. Il félicite à nouveau tous les acteurs de ce projet qui repose sur l’engagement et la mobilisation des familles et de nombreux bénévoles.

Communiqué diffusé le 20 mars 2012

C'était la proposition n°144 du programme municipal de Jean-Marc Ayrault en 2008 : lancer un plan «Folies douces» permettant de rouvrir les châteaux de la Gaudinière et du Grand-Blottereau et les dédier « à la culture scientifique, technique, ou musicale ». Quatre ans après, ces deux bâtiments emblématiques situés au sein des parcs publics éponymes restent désespérément fermés. Les somptueuses demeures, édifiées aux XIXème et XVIIIème siècles, semblent proches de l'abandon. Et les deux dernières années de mandat n'y changeront rien, reconnaît la ville.

Trouver le bon usage

« Leur ouverture au public reste un objectif mais pour un prochain mandat, confie Marie-Hélène Jouzeau, directrice du patrimoine. Les travaux de réhabilitation sont lourds et représentent un coût important pour la période actuelle. Il y a des études préalables à mener pour trouver l'usage le plus pertinent par rapport au lieu et à son environnement. Une activité confidentielle, uniquement pour la promenade du week-end, serait dommage. Il faudrait presque un usage quotidien. Il n'y a rien de pire que de voir des bâtiments de ce potentiel inutilisés. »

« Les dossiers traînent et on laisse ces éléments du patrimoine nantais tomber en ruine, s'indigne Julien Bainvel, conseiller municipal UMP. Il est anormal qu'il n'y ait pas encore d'affectation alors même qu'on achète de nouveaux locaux. Nous souhaitons que ces sites soient ouverts aux habitants, en particulier à la vie du quartier. Une activité de restauration, comme à Procé ou au Jardin des plantes, serait aussi une possibilité. »

20 Minutes – 20/02/2012

Samedi soir, j’étais à la patinoire du Petit Port pour assister à la 6^ème journée de la poule B de la Ligue 2 de Hockey sur glace. L’équipe du NAHG, Les Corsaires, recevaient Asnières.

Après un début de match en douceur, l’équipe d’Asnières a marqué en premier.

Les Nantais se sont alors réveillés et ont été très présents. Ils ont ainsi pu égaliser à quelques secondes de la fin du deuxième tiers temps.

A la fin du match, les deux équipes étant à égalité, une prolongation pour départager, selon la règle de la mort subite (le premier qui marque l’emporte), les deux équipes.

Les Corsaires ont démontré une détermination sans faille et un engagement très fort. Ils ont ainsi pu l’emporter et se classent désormais à la 4^ème place du classement général avec 8 points, les 3 premiers étant à égalité avec 10 points.

Claude Devèze l’entraineur aura pu trouver de nombreux points de satisfaction dans ce match et des éléments positifs avant d’affronter les meilleurs de la poule puisque les deux prochaines rencontres s’annoncent plus compliquées face à Toulon et Val Vanoise.

Le très dynamique Président du NAHG, Philippe Ranger, pouvait être fier de ses joueurs qui ont disputé cette rencontre dans une patinoire bondée.

Je reste un fervent supporteur des sportifs nantais et de cette belle équipe des Corsaires notamment.

Une collégienne de 11 ans a été renversée par une voiture rue Georges Méliès. Tout s’est passé très rapidement vers 13h30 jeudi dernier. L’automobiliste a pris la fuite.

La jeune fille souffre d’un traumatisme crânien. Elle est sortie de l’hôpital et a pu reprendre les cours ce mardi au collège Théophane Vénard. Sa mère a déposé plainte.

Malheureusement, nous savions depuis longtemps que cette rue est dangereuse. Que de nombreux automobilistes la remontent ou la descendent à une vitesse élevée.

À plusieurs reprises, je suis intervenu pour demander à la Ville de mettre en place des ralentisseurs et de créer des passages piétons surélevés.

Le Conseil de quartier a d’ailleurs eu l’occasion de faire les mêmes demandes.

Après cet accident, il est urgent que la Mairie réagisse. J’ai donc à nouveau interpellé le maire de Nantes pour lui demander de créer, très rapidement, des aménagements de sécurité rue Georges Méliès. Je ne manquerai pas de publier ici la réponse qui me sera faite.

En 2009, le long de la rue Raimu se dressait encore un immeuble doté d’un porche. Il renfermait le Breil sur lui-même.

Depuis le bâtiment a été coupé en deux, le porche rasé. Ce nouvel espace a été imaginé par les habitants du quartier lors du "Bistro du Porche", ateliers qui se sont déroulés en 2008 avec l'association Mire et Bruit du Frigo.

Vendredi, nous avons donc inauguré l’Esplanade Raimu et le mur végétal qui a vu le jour sur l’un des murs d’immeubles. L'esplanade de 900 m² a été réalisée pour un coût de 250 000 euros.

Vue depuis la Tour Feyder de l'esplanade Raimu

Cette opération est une vraie réussite et poursuit le réaménagement nécessaire du Breil.

Le mur végétal

La soirée s’est poursuivie autour de Claude Sérillon, enfant du Breil, venu pour l’occasion raconter son parcours. Pendant près d’une heure il a échangé avec une soixantaine de personnes, racontant son enfance heureuse au Breil, sa scolarité dans le quartier et à Gaston serpette, son assiduité au stade du Snuc.

Il a également rappelé qu’il a débuté sa carrière de journaliste à Nantes en couvrant pour l’un de ses premiers reportages l’incendie de la cathédrale.