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19 septembre 2013 4 19 /09 /septembre /2013 06:00

Depuis le 16 septembre, le centre ville de Nantes dispose du tri sélectif des déchets ménagers.

 

Il aura donc fallu 24 années à la majorité socialiste et écologiste pour aboutir à la généralisation du tri sélectif sur la totalité du centre ville. Si l’on peut évidemment se réjouir que chaque habitant puisse de chez lui trier ses déchets, on ne peut que regretter le retard pris par rapport à d’autres grandes agglomérations.

 

Les polémiques sur plus ou moins de service à la population, plus ou moins de taxe d’enlèvement des ordures ménagères, sont vaines car elles relèvent du simple constat.

 

Oui, le service offert à la population a évolué. Oui, la taxe d’enlèvement des ordures ménagères à été lissée sur l’agglomération nantaise pour un coût identique dans chaque commune (avec donc des hausses dans certains communes, des baisses dans d’autres).

 

Mais parlons de l’avenir.

La gestion des déchets est un sujet très important. Et tout n’est pas réglé sur Nantes, loin de là.

 

1er sujet : le coût. Personne ne parle de l’augmentation massive que vont subir les habitants de la métropole du fait de la politique gouvernementale. Aujourd’hui, assujettie à un taux de TVA à 7%, la gestion des déchets va se voir appliquer une TVA de 10 % au 1er janvier 2014. Cette hausse va entrainer un surcoût pour les collectivités de l’ordre de 200 millions d’euros. Pour Nantes Métropole, on estime le surcoût à 700 000 € par an.

Bien évidemment la majorité de Nantes Métropole reste silencieuse sur ce dossier. Mais sa réaction sera simple : augmenter d’autant la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.

 

2ème sujet : la collecte des déchets verts. Aujourd’hui, les habitants de la métropole doivent se rendre en déchetterie pour évacuer leurs déchets verts. Dans une agglomération de 600 000 habitants, dans laquelle la part des personnes âgées propriétaires de maisons avec jardin n’est pas négligeable, l’absence de solution en collecte à la porte est inadmissible. Julien BANVEL propose la mise en place d’un service d’enlèvement des déchets verts sur simple demande auprès d’Allo Propreté.

 

3ème sujet : les containeurs. La collecte par containeurs des emballages et des verres posent plusieurs difficultés. En termes d’hygiène, de nuisances sonores et visuelles. Trop souvent ces bacs débordent. Julien BAINVEL propose donc l’installation de puces électroniques permettant de vider les bacs avant qu’ils ne soient totalement pleins. Ce système fonctionne à Montreuil par exemple et donne d’excellents résultats. La multiplication des containeurs enterrés doit également être recherchée chaque fois que possible.

 

Loin des polémiques partisanes, Julien BAINVEL travaille pour l’intérêt général et émet des propositions constructives. Il appelle tous les acteurs concernés à changer de point de vue pour préparer l’avenir !

 

Communiqué diffusé le 18-09-2013

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 06:51

Julien Bainvel, Conseiller municipal de Nantes, prend acte du passage de deux tronçons du périphérique nantais à 70 km/h.

 

Cette mesure en vigueur entre la Porte de Gesvres et la Porte de Carquefou et entre le Pont de Cheviré et la Porte de Bouguenais doit permettre de mieux réguler le trafic routier d’un périphérique saturé aux heures de pointe et de réduire la survenance d’accidents sur ces portions.

 

Il rappelle également que la réduction de la vitesse sur le périphérique permettra une limitation des nuisances sonores ainsi qu’une amélioration de la qualité de l’air.

 

Pour autant, cette mesure utile n’est pas suffisante.

 

En effet, pour améliorer les conditions de vie des nombreux habitants vivant au bord du périphérique, dans des logements pour la plupart construits avant la création du périphérique nantais, il faut limiter les nuisances sonores qui sont aujourd’hui insupportables.

 

Julien BAINVEL a été à la rencontre du collectif antibruit Nantes Erdre et s’est rendu sur place pour constater la réalité vécue par ces habitants au quotidien.

Aussi, pour lui, d’autres mesures doivent être prises :

-          la mise à 70km/h de toutes les portions habitées du périphérique ;

-          le remplacement des revêtements en priorité sur les secteurs habités,

-          la mise en place de protections phoniques dans ces secteurs. Car même à 70 km/h les nuisances sont importantes ; la limitation de vitesse n’est pas toujours suffisante.

 

D’autre part, ces aménagements ne sauraient faire oublier la trop longue liste des points noirs sur le périphérique:

-          le tronçon intérieur entre la Porte d'Orvault et la porte de Rennes ;

-          le tronçon extérieur entre la Porte de la Chapelle et la porte d'Orvault ;

-          la Porte d'Armor, du fait d'un trafic dense sur le rond-point d'Atlantis, ce qui ne risque pas de s’arranger avec le réaménagement du boulevard de la Baule. ;

-          le pont de Bellevue en intérieur ;

-          le tronçon entre la Porte de la Beaujoire et la Porte de Gesvres ;

-          le tronçon entre la Porte de Gesvres et la Porte de la Chapelle ;

-          la Porte des Sorinières ;

-          le Pont de Cheviré…

 

Pour Julien Bainvel la priorité doit être donnée au développement des transports en commun de communes à communes pour en finir avec le passage par le cœur de ville, à l’amélioration de la desserte plus en amont du périphérique et à la création de parkings relais. Ces solutions sont de nature à favoriser le report d’une partie des automobilistes sur les transports collectifs.

 

La congestion du périphérique est la conséquence de l’évolution démographique de la métropole et du département mais également de la poursuite d’un étalement urbain que les politiques de la Municipalité n’arrivent pas à enrayer. Comme l’activité économique reste concentrée sur la métropole, les déplacements en voiture se multiplient du fait de l’étalement de l’habitat et la grande majorité de ces déplacements n’ont pas d’autres alternatives crédibles que d’utiliser la voiture et d’emprunter le périphérique.

 

En conclusion, Julien BAINVEL précise qu’il n’est pas favorable au passage à 70 km/h de l’ensemble du périphérique. La volonté du Ministre de l’Intérieur de passer le périphérique parisien à 70 km/h ne doit pas être transposée à Nantes. Les situations ne sont en rien comparables.

Il souhaite que la majorité de Nantes Métropole n’accepte pas (comme elle en a l’habitude) une telle décision de l’État par pure soumission socialiste.

 

Communiqué diffusé le 12 juillet 2013

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 16:21

Le Conseil communautaire de Nantes Métropole a adopté à l’unanimité le vendredi 25 janvier dernier la Charte communautaire relative à l’implantation des antennes relais.

 

Julien Bainvel et les élus du groupe Ensemble pour Nantes qui réclamaient depuis 2008 la mise en place d’une réflexion et d’un traitement de ces questions à l’échelle de la métropole obtiennent ainsi satisfaction.

 

Lors de son intervention, Julien Bainvel a noté les avancées importantes contenues dans la Charte communautaire : une réflexion à l’échelle des 24 communes de l’agglomération, la création d’un guichet unique pour traiter les dossiers et aides les communes, la création d’un répertoire des sites potentiels d’accueil des futures antennes, des campagnes de mesures annuelles et la création d’une page internet dédiée sur le site de Nantes Métropole. Autant de propositions faites par Julien BAINVEL dès 2008.

 

Néanmoins, il a également pointé un manque important dans cette Charte : l’absence totale de seuil maximal d’émission pour les antennes actuelles et futures.

 

Il regrette qu’aucune limite, autre que les limites légales qui sont très permissives, ne soient fixées dans la Charte.

Il a également regretté que la Charte n’ait aucune valeur légale et donc aucune valeur contraignante pour les signataires.

 

Par ailleurs, il a demandé que l’État représenté par l’Agence Régionale de Santé soit associé aux démarches, réflexions et réunions publiques à venir. Il a demandé que l’ARS soit signataire de la Charte.

 

Il a également insisté sur l’information due aux riverains avant toute implantation d’une nouvelle antenne. Trop souvent les riverains découvrent l’existence d’un projet après l’installation de l’antenne. Ce point mérite d’être davantage travaillé.

 

Enfin, il a demandé au Gouvernement d’agir pour revoir la législation en vigueur en diminuant les seuils d’émissions des antennes relais en fixant un plafond à 0,6 v/m, conformément aux préconisations de nombreux acteurs et aux pratiques de nombreux États.

 

Communiqué diffusé le 30 janvier 2012

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9 mai 2012 3 09 /05 /mai /2012 06:30

OF 02-05-12

Ouest France - 02/05/2012

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30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 08:02

Julien BAINVEL, Conseiller municipal de Nantes, chargé notamment des questions environnementales, note avec satisfaction que le Maire de Nantes a répondu favorablement aux demandes qu’il a formulées lors du dernier conseil municipal.

 

En effet, Julien BAINVEL avait demandé à l’occasion d’une question d’actualité, au Maire de Nantes de suspendre le projet d’implantation d’antenne relais sur le stade du SUAPS.

 

Par un courrier daté du 19 avril, le Maire de Nantes annonce avoir « décidé de retirer la déclaration préalable accordée le 30 novembre aux opérateurs FREE et BOUYGUES TELECOM. La deuxième déclaration préalable binominale, de SFR et ORANGE, est déjà refusée depuis le 24 février 2012 ».

 

Pour Julien BAINVEL, mobilisé depuis de longs mois sur ce dossier comme sur les autres, cela constitue, après la même décision prise en 2011 pour un projet rue de la Marrière, une nouvelle avancée.

 

Julien BAINVEL, attaché au principe de précaution et au dialogue avec les nantais, demande à nouveau au Maire de Nantes d’instaurer un moratoire pour tous les projets d’implantation d’antennes relais en cours ou à venir sur le territoire de la Ville.

 

Il rappelle sa proposition de travail au niveau de la métropole avec l’ensemble des maires et les opérateurs pour définir les zones à couvrir, puis l’organisation de réunions publiques par secteur associant les riverains pour définir, dans la concertation, les sites précis.

 

Julien BAINVEL reste mobilisé sur ces sujets tout en rappelant qu’il s’agit non pas de s’opposer aux nouvelles technologies mais bien de faire vivre la Ville apaisée à laquelle il croit.

 

Communiqué diffusé le 24 avril

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9 avril 2012 1 09 /04 /avril /2012 08:55

 

Le mercredi 21 mars dernier, j’ai assisté à la réunion publique organisée à la demande du collectif Launay-Violette en présence des 4 opérateurs de téléphonie mobile concernés.

 

A l’origine, le projet consistait à implanter 4 supports de 25 mètres chacun aux quatre coins du stade du SUAPS.

Face à la contestation des riverains, à la création d’un collectif, les opérateurs ont revu leur projet, et ont déposé des demandes auprès de la mairie pour installer 2 supports de 35 mètres chacun, de chaque coté du terrain en son milieu. Bouygues et Free se partagent un support, France Télécom et SFR se partageant l’autre. La mairie a donné son accord

 

Il y avait beaucoup de monde à cette réunion publique. Les opérateurs ont indiqué que le stade avait été choisi car le besoin de couverture existe dans cette zone et qu’une antenne située sur le CNAM allait disparaître (à la demande du CNAM).

 

Les membres du collectif Launay-Violette ont pris la parole, posé des questions, démontré qu’ils étaient ouverts à la discussion et prêts à travailler de manière constructive avec les opérateurs.

Le Maire de Nantes, absent, était représenté par Mme Bassal, adjointe.

 

Poussée par le public à s’exprimer, elle a finalement pris la parole pour délivrer le discours habituel : la Ville n’a pas de pouvoir, c’est la faute de l’État, en 2001 on a signé une Charte avec les opérateurs, ce qui était inédit en France. Mme Bassal a ensuite rappelé les objectifs de la Charte (limitation à 2v/m et pas d’implantation à moins de 100 mètres des lieux sensibles, écoles, crèches, …).

 

Je suis bien évidemment intervenu pour rappeler ma position sur la question des antennes relais, rappeler le rôle du Maire dans ces dossiers, puisque c’est bien le Maire qui délivre les autorisations d’urbanisme, j’ai ajouté que certains maires s’opposaient, ce qui est un choix politique, à certaines implantations… J’ai demandé que Mme Bassal adopte la même attitude sur ce dossier que sur celui de la Marrière et demande aux opérateurs d’abandonner le projet en attendant de trouver une solution consensuelle.

 

Mme Bassal n’ayant pas fait cette demande, j’ai profité du dernier conseil municipal pour revenir sur ce dossier, refaire cette demande, et demander quelles règles s’appliquaient. Ma question et la réponse de ma collègue de la majorité sont sur mon blog. Vous noterez qu’elle ne répond pas.

 

Les inquiétudes augmentent, les collectifs se multiplient, les projets sont au point mort.

La Ville de Nantes devrait pleinement jouer le rôle d’intermédiaire. Les élus devraient mettre tous les acteurs autour de la table pour trouver des solutions. Ils préfèrent renvoyer les responsabilités sur d’autres. Je ne partage pas du tout cette attitude.

Je maintiens mes constats, mon avis et mes propositions sur le dossier des antennes relais. Et je continue à me mobiliser et à travailler pour que les choses bougent enfin à Nantes et Nantes Métropole.

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 07:09

PO 02-03-12

PO 02-03-12

Presse Océan - 02/03/2012

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26 janvier 2012 4 26 /01 /janvier /2012 07:13

OF 25-01-12

Ouest France - 25/01/2012

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7 décembre 2011 3 07 /12 /décembre /2011 12:17

PO 06-12-11

Presse Océan - 06/12/2011

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3 décembre 2011 6 03 /12 /décembre /2011 09:41

Le tri 'sac est un mode de collecte sélective mis en place dès 2007 dans les quartiers Michelet, Bellamy ou encore Beaujoire. Elargi aux quartiers Malakoff, Breil, et une partie de Bellevue en 2008, le tri sélectif ne s'est pas étendu au grand centre-ville de Nantes, ce qui exclut entre 40 000 et 50 000 personnes sur les 600 000 habitants de Nantes Métropole.

Le tri'sac ne fera son apparition en centre-ville qu'en 2013.

Par ailleurs, la déchetterie de la Prairie aux Mauves est au maximum de ces capacités, il lui manque une deuxième chaîne de tri, qui ne pourra être construite qu'au moment du renouvellement de la délégation du service public en 2012.

 

L'opposition propose des solutions

Afin d'améliorer le tri sélectif des déchets à Nantes, l'opposition municipale, incarnée par le groupe Ensemble pour Nantes, suggère le recours à la redevance incitative au poids, c'est-à-dire un mode de facturation du ramassage des ordures ménagères calculé directement sur le service rendu, comme pour le gaz, l'eau et l'électricité. Plus un habitant accumule les déchets, plus sa redevance sera élevée. Cette initiative a déjà cours dans plusieurs villes de France, comme par exemple à la Roche-sur-Yon en Vendée.

Une autre proposition du groupe Ensemble pour Nantes consiste à rendre payant l'acquisition des sacs bleus du Tri'sac. En effet, les sacs jaunes rassemblent les déchets à recycler (plastique, carton), ils resteraient gratuits. Par contre, les sacs bleus sont utilisés comme des sacs poubelle ordinaires, recueillant des déchets non-recyclables, ceux-là deviendraient donc payants comme n'importe quel sac poubelle.

 

Au micro d'Alice Bordage, Julien Bainvel, membre du groupe d'opposition municipale « Ensemble pour Nantes » et élu du quartier Breil-Barberie, chargé des questions environnementales.

 

Le reportage est à écouter à l'adresse suivante :  

http://www.lafrap.fr/content/lopposition-fait-le-tri-2792

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  Photo JB 3

Conseiller Municipal de Nantes
Elu du quartier Breil Barberie
Chargé des questions environnementales

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2, rue de l'Hôtel de Ville
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